Au cœur de la forêt, l'homme se tient seul, Sous le dôme vert des arbres majestueux,
Le vent murmure des secrets anciens, Et les feuilles bruissent en écho.
Il marche sur des sentiers oubliés, Ses pas laissent des empreintes légères,
La mousse douce caresse ses semelles, Et les oiseaux observent son errance solitaire.
La rivière chante sa mélodie cristalline, L'homme s'agenouille près de ses rives,
Il contemple l'eau qui court vers l'infini, Se perdant dans les méandres du temps.
Les montagnes se dressent en silence, Leurs sommets touchent le ciel étoilé,
L'homme se sent petit, insignifiant, Face à la grandeur de la nature.
Il écoute le chant des loups au crépuscule, Le hurlement solitaire qui traverse les vallées,
Et il se fond dans cette solitude sauvage, Un être parmi les éléments, humble et libre.
L'homme sait que dans cette immensité, Il est à la fois perdu et retrouvé,
La nature lui offre son silence apaisant, Et il devient un avec elle, dans la solitude.
